Mon homme trouve souvent que la recette des cupcakes ou plutôt du gâteau en lui même qui compose le cupcake est un peu trop bourratif. Aussi ayant envie de faire à nouveau des cupcakes pour leur côté ludique et aussi pour tester/goûter les crèmes faites au cream cheese comme aux US (recette chopée et modifiée dans le dernier Elle à table sept-oct 2010 page 124), je décide de faire la pâte du gâteau au yahourt comme base du cupcake. Eh bien comme tout le monde a particulièrement apprécié, voilà la recette sur le blog ! Hop à vos fourneaux.

Pour 12 cupcakes
[Temps de préparation : 30 minutes]
[Temps de cuisson : 20 minutes]

Les cupcakes
1 yahourt nature (= 1 dose)
2 doses de sucre en poudre 3 doses de farine 1 dose d’ huile
3 oeufs 1 sachet de levure chimique 1 cuillère à soupe de grand marnier
Préchauffez votre four à 180°C-th6
Dans un saladier, mélangez tous les ingrédients en les rajoutant un par un jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.
Mettez une caissette en papier à l’interieur de chaque moule à cupcake. Remplissez les moules de pâte jusqu’au 3/4 du moule.
Au four pour une vingtaine de minutes.
Démoulez les une fois tiédis sur une grille.

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Le glaçage
150g de philadelphia 15cl de crème fleurette bien froide
colorant alimentaire 6 cuillères à soupe de sucre
des perles de sucre pour la décoration
Montez la crème fleurette en chantilly en utilisant les fouets et le saladier qui étaient dans le congélateur.
Avec les mêmes fouets battez votre fromage frais, incorporez y votre colorant alimentaire [si vous voulez faire plusieurs couleurs, partagez votre fromage dans plusieurs petits saladiers] et ensuite incorporez y délicatement à la spatule la crème chantilly. Goûtez et sucrez à votre convenance [pour ma part j’ai rajouté 3 cuillères à soupe de sucre dans la crème rouge et idem dans la crème rose] Versez dans une poche à douille et décorez vos cupcakes de crème, puis de perles de sucre et hop au frigidaire jusqu’à 10 minutes avant de les servir.

N’oubliez pas avec les cupcakes ce qui est bien c’est de laisser parler son imagination ! Et faites les le jour même, c’est moins bon le lendemain.